Catégorie : Pastiche

  • Léon Bloy : L’idole des miasmes

    Léon Bloy : L’idole des miasmes

    Durant le confinement, la rédaction a rédigé une série de pastiches pour rendre hommage à des écrivains que Romain Debluë nous propose ainsi un texte tonitruant dans le style de Léon Bloy.

  • Louis-Ferdinand Céline : Carnet du clinicien Destouches

    Louis-Ferdinand Céline : Carnet du clinicien Destouches

    Durant le confinement, la rédaction a rédigé une série de pastiches pour rendre hommage à des écrivains que nous affectionnons particulièrement. Pierre Chardot nous propose ainsi un texte qui reprend la fameuse petite musique de Céline.

  • Michel Houellebecq : Moderna

    Michel Houellebecq : Moderna

    Nous poursuivons notre rubrique dominicale consacrée aux pastiches d’écrivains célèbres en donnant cette semaine la parole à Michel Houellebecq. Nous espérons que nos lecteurs apprécieront ce court texte, extrait de son prochain roman Moderna, qui dépeint la France en temps de crise sanitaire.

  • Roland Barthes : La chambre close

    Roland Barthes : La chambre close

    Durant le confinement, la rédaction a rédigé une série de pastiches pour rendre hommage à des écrivains que nous affectionnons particulièrement. Pierre Chardot nous propose ainsi un portrait hilarant de Roland Barthes.

  • Voltaire : Covid, ou l’Optimisme

    Voltaire : Covid, ou l’Optimisme

    Durant le confinement, la rédaction de Zone Critique a rédigé une série de pastiches. Cette semaine, Alexis Martinot vous propose un texte qui rend hommage au style satirique de Voltaire.

  • François Rabelais : Plus de torchecul

    François Rabelais : Plus de torchecul

    Pendant le confinement, la rédaction de Zone Critique s’est amusée à pasticher les plus grands écrivains français. L’un de nos rédacteurs reprend ici l’épisode de la pénurie de papier toilette vue par Rabelais.

  • Philip K. Dick : Les complotistes rêvent-ils de braquage vaccinal ?

    Philip K. Dick : Les complotistes rêvent-ils de braquage vaccinal ?

    Une mystérieuse femme rousse nous a transmis fiévreusement cette nouvelle, en la présentant comme un texte inédit de Philip K. Dick traduit par ses soins. L’écrivain américain lui aurait dicté ce récit pendant son sommeil au cours d’une nuit marquée par la prise de LSD. Pourtant, rien ne peut attester la véracité de cet écrit…